Pour M. Potier, la France n’est pas le mauvais élève de l’Europe car « il y a des pays qui ont chuté considérablement durant la crise », notamment dans le sud de l’Europe précise-t-il. Pour la France, la situation est un peu différente : « je ne pense pas que nous sommes malades. Je pense que la France, si vous regardez les chiffres, est plate ».
« Le problème de la France est de trouver le moyen d’être plus dynamique » précise le président d’Air Liquide. « De grandir et d’ajouter plus d’énergie au system, et de trouver les recettes pour ce faire ».
Les problèmes de la France, selon Benoît Potier, sont les mêmes que ceux pointés du doigt par le patronat en général : le marché du travail très fermé et complexe et un taux d’imposition trop élevé sur les entreprises. De quoi alimenter le moulin de ceux qui sont pour un retour aux 39 heures et pour une ultérieure baisse de la fiscalité des entreprises.
Pour preuve, selon M. Potier, il suffit de regarder les performances des entreprises françaises à l’étranger : « Les groupes français s’en sortent très bien en dehors de la France […] alors pourquoi ne pas inventer en France l’environnent que nous trouvons dans le reste du monde ? »
« Le problème de la France est de trouver le moyen d’être plus dynamique » précise le président d’Air Liquide. « De grandir et d’ajouter plus d’énergie au system, et de trouver les recettes pour ce faire ».
Les problèmes de la France, selon Benoît Potier, sont les mêmes que ceux pointés du doigt par le patronat en général : le marché du travail très fermé et complexe et un taux d’imposition trop élevé sur les entreprises. De quoi alimenter le moulin de ceux qui sont pour un retour aux 39 heures et pour une ultérieure baisse de la fiscalité des entreprises.
Pour preuve, selon M. Potier, il suffit de regarder les performances des entreprises françaises à l’étranger : « Les groupes français s’en sortent très bien en dehors de la France […] alors pourquoi ne pas inventer en France l’environnent que nous trouvons dans le reste du monde ? »