La succession de Jean-Bernard Lévy semble difficile chez Thales. Alors que l’ancien PDG a été placé par l’Etat à la tête de l’énergéticien public, suite au non-renouvellement du mandat d’Henri Proglio, l’Etat et Dassault Aviation, principaux actionnaires de Thales, ne sont pas parvenus à un accord sur le nouveau PDG du groupe.
Finalement, jeudi 27 novembre 2014, c’est le nom de Philippe Logak, 46 ans et secrétaire général de Thales, qui est sorti lots d’une réunion du conseil d’administration. M. Logak avait été appelé par Jean-Bernard Lévy pour prendre la place de secrétaire général en 2013.
En lice, pour le poste définitif de PDG de Thales, il y a deux personnalités du groupe spécialisé dans la défense. Dassault aviation aurait envie de voir à la tête de Thales Pierre Eric Pommelet, 50 ans, déjà directeur adjoint des systèmes de mission de défense du groupe. L’Etat, lui, pencherait plutôt pour Patrice Caine, 44 ans, numéro deux du groupe. D’autres noms trainent également dans les couloirs de Thales, comme celui de Jean-François Cirellu, ancien numéro 2 de GDF Suez.
En attendant que l’Etat et les actionnaires se mettent d’accord, c’est donc Philippe Logak qui prendra les rênes de Thales qui compte quelques 65 000 employés et un chiffre d’affaires de 14 milliards d’euros.
Finalement, jeudi 27 novembre 2014, c’est le nom de Philippe Logak, 46 ans et secrétaire général de Thales, qui est sorti lots d’une réunion du conseil d’administration. M. Logak avait été appelé par Jean-Bernard Lévy pour prendre la place de secrétaire général en 2013.
En lice, pour le poste définitif de PDG de Thales, il y a deux personnalités du groupe spécialisé dans la défense. Dassault aviation aurait envie de voir à la tête de Thales Pierre Eric Pommelet, 50 ans, déjà directeur adjoint des systèmes de mission de défense du groupe. L’Etat, lui, pencherait plutôt pour Patrice Caine, 44 ans, numéro deux du groupe. D’autres noms trainent également dans les couloirs de Thales, comme celui de Jean-François Cirellu, ancien numéro 2 de GDF Suez.
En attendant que l’Etat et les actionnaires se mettent d’accord, c’est donc Philippe Logak qui prendra les rênes de Thales qui compte quelques 65 000 employés et un chiffre d’affaires de 14 milliards d’euros.