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Le 1er juin 2016, interrogé sur RTL, Nicolas de Tavernost a relancé le débat sur les gros salaires qui a opposé le gouvernement, Renault et Emmanuel Macron. Alors que son salaire est de 1,4 million d'euros, il estime qu'il n'est "pas énorme" et confie même qu'l n'est pas "le mieux payé du groupe".
"Je crois à la liberté des actionnaires, ce sont eux qui fixent la rémunération des patrons, c'est à eux de décider" a-t-il déclaré. De fait, s'il se pose en défenseur d'un salaire libre, il semble ne pas être d'accord avec la décision du Conseil d'Administration de Renault. Ce dernier a validé la rémunération de Carlos Ghosn contre l'avis de l'Assemblée Générale, ce qui a rajouté un deuxième scandale au premier lié au montant du salaire du PDG de Renault.
D'ailleurs, en réponse à cette décision du Conseil d'Administration de Renault, les députés ont voté un amendement à la Loi Sapin II qui décrète que la décision de l'Assemblée Générale, dans ce cas-là, sera contraignante. En cas de vote défavorable pour une rémunération, le Conseil d'Administration de l'entreprise devra proposer une nouvelle rémunération qui sera à nouveau soumise à un vote.
"Je crois à la liberté des actionnaires, ce sont eux qui fixent la rémunération des patrons, c'est à eux de décider" a-t-il déclaré. De fait, s'il se pose en défenseur d'un salaire libre, il semble ne pas être d'accord avec la décision du Conseil d'Administration de Renault. Ce dernier a validé la rémunération de Carlos Ghosn contre l'avis de l'Assemblée Générale, ce qui a rajouté un deuxième scandale au premier lié au montant du salaire du PDG de Renault.
D'ailleurs, en réponse à cette décision du Conseil d'Administration de Renault, les députés ont voté un amendement à la Loi Sapin II qui décrète que la décision de l'Assemblée Générale, dans ce cas-là, sera contraignante. En cas de vote défavorable pour une rémunération, le Conseil d'Administration de l'entreprise devra proposer une nouvelle rémunération qui sera à nouveau soumise à un vote.