A la recherche de croissance et d’une inflation proche des 2%, le taux arbitrairement admis comme étant le meilleur pour l’économie, la zone euro doit continuer ses efforts pour redresser la barre. Pour Mario Draghi, toutefois, il y a un espoir. Si le risque de déflation n’est pas « exclu » il reste néanmoins « limité » pour 2015. De quoi rassurer un peu.
Le président de la BCE n’en est pas pour autant optimiste et annonce déjà que le programme pour 2015 sera chargé pour la Banque Centrale Européenne : « Nous sommes en train de nous préparer techniquement pour modifier début 2015 l'ampleur, le rythme et le caractère des moyens à mettre en place s'il devenait nécessaire de réagir à une trop longue période d'inflation trop faible ».
Il n’y a toutefois pas de crise en zone euro mais « une longue période de faiblesse » qui devrait se résoudre, notamment grâce à « la combinaison de notre politique monétaire et des réformes d'Etat » qui vont permettre de « ramener beaucoup de la confiance perdue ».
En attendant, en novembre 2014, l’inflation en zone euro s’en sortait mal, à seulement +0,3%.
Le président de la BCE n’en est pas pour autant optimiste et annonce déjà que le programme pour 2015 sera chargé pour la Banque Centrale Européenne : « Nous sommes en train de nous préparer techniquement pour modifier début 2015 l'ampleur, le rythme et le caractère des moyens à mettre en place s'il devenait nécessaire de réagir à une trop longue période d'inflation trop faible ».
Il n’y a toutefois pas de crise en zone euro mais « une longue période de faiblesse » qui devrait se résoudre, notamment grâce à « la combinaison de notre politique monétaire et des réformes d'Etat » qui vont permettre de « ramener beaucoup de la confiance perdue ».
En attendant, en novembre 2014, l’inflation en zone euro s’en sortait mal, à seulement +0,3%.