Avec la nomination d'Isabelle Kocher au rôle de Directrice Générale d'Engie, le CAC40 se teint un peu plus de rose mais reste largement dominé par les hommes. Seule une autre femme, Sophie Bellon, y dirige une entreprise. Elle a été la première femme dirigeante d'une entreprise du CAC40 lorsque Sodexo a repris sa place dans l'indice le 21 mars 2016 après 11 ans d'absence ; lorsqu'elle a pris ses fonctions, en janvier 2016, Sodexo n'y était plus.
Isabelle Kocher est donc devenue la première femme nommée à la tête d'une entreprise du CAC40 lorsque l'entreprise était incluse dans l'indice. La responsabilité s'annonce donc lourde, d'autant plus qu'Engie n'est pas au mieux de sa forme : le distributeur de gaz a enregistré une perte nette de 4,6 milliards d'euros en 2015. Isabelle Kocher devra donc redresser les comptes.
Pour ce faire, selon Les Echos, Isabelle Kocher nommera un nouveau comité de direction et affiche un objectif ambitieux : retourner la situation d'Engie en trois ans. Elle va mettre en oeuvre le plan de transformation annoncé en février qui devrait renforcer Engie dans la production d'électricité renouvelable, entre autres.
Au programme, donc, production d'électricité, cession de près de 15 milliards d'euros d'actifs, réinvestissement d'une somme équivalente, services... le but de tout ça ? faire d'Engie "le leader mondial de la transition énergétique".
Isabelle Kocher est donc devenue la première femme nommée à la tête d'une entreprise du CAC40 lorsque l'entreprise était incluse dans l'indice. La responsabilité s'annonce donc lourde, d'autant plus qu'Engie n'est pas au mieux de sa forme : le distributeur de gaz a enregistré une perte nette de 4,6 milliards d'euros en 2015. Isabelle Kocher devra donc redresser les comptes.
Pour ce faire, selon Les Echos, Isabelle Kocher nommera un nouveau comité de direction et affiche un objectif ambitieux : retourner la situation d'Engie en trois ans. Elle va mettre en oeuvre le plan de transformation annoncé en février qui devrait renforcer Engie dans la production d'électricité renouvelable, entre autres.
Au programme, donc, production d'électricité, cession de près de 15 milliards d'euros d'actifs, réinvestissement d'une somme équivalente, services... le but de tout ça ? faire d'Engie "le leader mondial de la transition énergétique".