Lorsque Donald Trump a annoncé l’interdiction, pour les ressortissants de 7 pays musulmans, d’entrer sur le territoire américain et ce même s’ils détenaient un visa ou une Green Card, de grosses manifestations ont été menées dans les aéroports de tout le pays. L’une d’entre elles s’est déroulée à l’aéroport John Fitzgerald Kennedy (JFK) de New York et elle est à l’origine de la décision du patron d’Uber.
Les 28 et 29 janvier 2017, lors des manifestations, les taxis new-yorkais ont annoncé soutenir les manifestants en faisant grève. La décision a été suivie de celle d’Uber qui, au contraire, a déclaré que ses chauffeurs allaient bien travailler dans les environs de l’aéroport. Considérée comme opportuniste, la décision d’Uber a été mal prise par les manifestants qui ont appelé massivement au boycott de l’application.
Selon le New York Times, le boycott a eu un impact considérable : Uber aurait perdu quelques 200 000 utilisateurs qui ont supprimé l’application. Un nouveau scandale pour l’entreprise, donc, et le fait que Travis Kalanick était conseiller de Trump n’aidait en rien la situation.
Afin de calmer la grogne contre Uber, Travis Kalanick a donc annoncé mardi 2 janvier 2017 qu’il allait quitter ses fonctions de conseiller. Néanmoins, sa présence en tant que conseiller ne signifiait pas qu’il était d’accord avec la politique de Donald Trump puisqu’il avait déjà critiqué ouvertement le décret.
Contrairement à Travis Kalanick, d’autres grands noms de la Silicon Valley ont décidé de rester conseillers du nouveau président. Peter Thiel, fondateur de Palantir, et Elon Musk, fondateur de Tesla, en font partie.
Les 28 et 29 janvier 2017, lors des manifestations, les taxis new-yorkais ont annoncé soutenir les manifestants en faisant grève. La décision a été suivie de celle d’Uber qui, au contraire, a déclaré que ses chauffeurs allaient bien travailler dans les environs de l’aéroport. Considérée comme opportuniste, la décision d’Uber a été mal prise par les manifestants qui ont appelé massivement au boycott de l’application.
Selon le New York Times, le boycott a eu un impact considérable : Uber aurait perdu quelques 200 000 utilisateurs qui ont supprimé l’application. Un nouveau scandale pour l’entreprise, donc, et le fait que Travis Kalanick était conseiller de Trump n’aidait en rien la situation.
Afin de calmer la grogne contre Uber, Travis Kalanick a donc annoncé mardi 2 janvier 2017 qu’il allait quitter ses fonctions de conseiller. Néanmoins, sa présence en tant que conseiller ne signifiait pas qu’il était d’accord avec la politique de Donald Trump puisqu’il avait déjà critiqué ouvertement le décret.
Contrairement à Travis Kalanick, d’autres grands noms de la Silicon Valley ont décidé de rester conseillers du nouveau président. Peter Thiel, fondateur de Palantir, et Elon Musk, fondateur de Tesla, en font partie.