Entreprise
Shutterstock/economiematin
« A cause de vos lois, nous ne pouvons reprendre l’usine Goodyear ». C’est avec cette phrase que le PDG de Titan a mis un terme au projet. Il voulait en effet la reprendre à condition de n’embaucher au maximum que 333 employés, mais la loi l’obligeait à en réembaucher 652, un nombre qui ne permettait pas à l’usine d’être rentable. Si la reprise est donc abandonnée, c’est la faute à la législation.
Mais, peut-être, ce n’est là qu’une excuse puisque Maurice Taylor a toujours critiqué la France. Cette fois encore : « La France est décidément trop communiste. Quand vous tomberez aussi bas que la Russie, peut-être que vous aurez une chance de repartir » a-t-il déclaré. Et puis il s’est attaqué aux syndicats : « Dites aux syndicats s'ils sont si intelligents, ils n'ont qu'à racheter l'usine ».
Mais il n’en est pas à son coup d’essai. En 2013 il avait déjà fortement insulté les Français dans une lettre adressée au ministre de l’Economie de l’époque, Arnaud Montebourg : « Les salariés français touchent des salaires élevés mais ne travaillent que trois heures. Ils ont une heure pour leurs pauses et leur déjeuner, discutent pendant trois heures et travaillent trois heures ».
A se demander, en fait, pour quelle raison il voulait reprendre l’usine française si les salariés français sont d’aussi mauvais éléments.
Mais, peut-être, ce n’est là qu’une excuse puisque Maurice Taylor a toujours critiqué la France. Cette fois encore : « La France est décidément trop communiste. Quand vous tomberez aussi bas que la Russie, peut-être que vous aurez une chance de repartir » a-t-il déclaré. Et puis il s’est attaqué aux syndicats : « Dites aux syndicats s'ils sont si intelligents, ils n'ont qu'à racheter l'usine ».
Mais il n’en est pas à son coup d’essai. En 2013 il avait déjà fortement insulté les Français dans une lettre adressée au ministre de l’Economie de l’époque, Arnaud Montebourg : « Les salariés français touchent des salaires élevés mais ne travaillent que trois heures. Ils ont une heure pour leurs pauses et leur déjeuner, discutent pendant trois heures et travaillent trois heures ».
A se demander, en fait, pour quelle raison il voulait reprendre l’usine française si les salariés français sont d’aussi mauvais éléments.
