Dans un entretien accordé à l’Irish Times Benoît Coeure, l’un des six administrateurs de la Banque Centrale Européenne, a été plus que clair. Interrogé sur la question d’un programme d’assouplissement quantitatif il répond : « la seule chose que je peux dire c’est que pour que ça marche il doit être très important ».
En effet si Mario Draghi a à maintes reprises parlé d’une stratégie de rachats d’actifs pour relancer la Zone Euro et faire remonter l’inflation, que la BCE aimerait aux alentours de 2%, il ne s’est pas prononcé sur le montant de ce rachat. Des rumeurs tableraient sur 1000 milliards d’euros, soit beaucoup moins que ce que la FED qui a injecté dans l’économie américaine 3500 milliards de dollars en 6 ans.
« Nous devons être convaincants et montrer que la BCE a la solution et les instruments pour sortir l’économie européenne de sa phase de faible croissance et de faible inflation » estime M. Coeure. Mais la BCE pourrait se heurter aux différents pays qui composent la zone euro.
Pour que le rachat d’actifs fonctionne tous les pays de la zone euro devraient agir d’un commun accord ce qui risque d’obliger la BCE à faire des concessions, notamment envers l’Allemagne, et donc de rendre le rachat d’actif moins efficace car moins élevé.
En effet si Mario Draghi a à maintes reprises parlé d’une stratégie de rachats d’actifs pour relancer la Zone Euro et faire remonter l’inflation, que la BCE aimerait aux alentours de 2%, il ne s’est pas prononcé sur le montant de ce rachat. Des rumeurs tableraient sur 1000 milliards d’euros, soit beaucoup moins que ce que la FED qui a injecté dans l’économie américaine 3500 milliards de dollars en 6 ans.
« Nous devons être convaincants et montrer que la BCE a la solution et les instruments pour sortir l’économie européenne de sa phase de faible croissance et de faible inflation » estime M. Coeure. Mais la BCE pourrait se heurter aux différents pays qui composent la zone euro.
Pour que le rachat d’actifs fonctionne tous les pays de la zone euro devraient agir d’un commun accord ce qui risque d’obliger la BCE à faire des concessions, notamment envers l’Allemagne, et donc de rendre le rachat d’actif moins efficace car moins élevé.