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Mais finalement, ce jeudi 8 mai 2014, les deux groupes ont annoncé conjointement renoncer à cette opération. Officiellement pour des problèmes liés aux impôts. Mais il semblerait que ce soit une lutte de pouvoir qui a eu raison de la chose.
C’est le Wall Street Journal qui, le premier, a dévoilé des informations qui mettraient au centre de la fusion acquisition ratée la lutte de pouvoir entre les deux PDG des deux géants, le français Maurice Lévy pour Publicis et l’américain John Wren pour Omnicom. Selon le WSJ, les deux chefs d’entreprise n’auraient pas réussi à se mettre d’accord.
Si la nouvelle entité, qui avait été baptisée temporairement Publicis Omnicom Group, devait être dirigée par les deux PDG conjointement, il semblerait que, parmi les points sur lesquels il n’a pas été possible de trouver un accord, il y a aurait la question de savoir quelle entreprise allait, sur le papier, acheter l’autre.
En effet, même si le capital aurait été partagé à 50% par les deux groupes et que donc aucune des deux entreprises n’allait avoir plus d’importance que l’autre, sur le papier il en fallait une qui achète l’autre. Or, ni Maurice Lévy ni John Wren ne désiraient voir leur entreprise se faire racheter.
Autre point de désaccord selon le Wall Street journal : la nomination du futur directeur financier. Chacun des deux groupes voulait placer son homme à ce poste, soit Jean-Michel Etienne pour Publicis et Randall Weisenburger pour Omnicom.
Bien que ce ne fussent sans doute pas les seuls problèmes qu’une telle opération rencontrait, ces points de désaccord étaient trop importants et stratégiques pour qu’ils puissent être ignorés.
C’est le Wall Street Journal qui, le premier, a dévoilé des informations qui mettraient au centre de la fusion acquisition ratée la lutte de pouvoir entre les deux PDG des deux géants, le français Maurice Lévy pour Publicis et l’américain John Wren pour Omnicom. Selon le WSJ, les deux chefs d’entreprise n’auraient pas réussi à se mettre d’accord.
Si la nouvelle entité, qui avait été baptisée temporairement Publicis Omnicom Group, devait être dirigée par les deux PDG conjointement, il semblerait que, parmi les points sur lesquels il n’a pas été possible de trouver un accord, il y a aurait la question de savoir quelle entreprise allait, sur le papier, acheter l’autre.
En effet, même si le capital aurait été partagé à 50% par les deux groupes et que donc aucune des deux entreprises n’allait avoir plus d’importance que l’autre, sur le papier il en fallait une qui achète l’autre. Or, ni Maurice Lévy ni John Wren ne désiraient voir leur entreprise se faire racheter.
Autre point de désaccord selon le Wall Street journal : la nomination du futur directeur financier. Chacun des deux groupes voulait placer son homme à ce poste, soit Jean-Michel Etienne pour Publicis et Randall Weisenburger pour Omnicom.
Bien que ce ne fussent sans doute pas les seuls problèmes qu’une telle opération rencontrait, ces points de désaccord étaient trop importants et stratégiques pour qu’ils puissent être ignorés.