Entreprise
cc/flickr/Gential Lambert
The Economist a décidé de considérer la religion catholique comme « la plus vieille multinationale du monde » (nommée « RC Global » pour « Roman Catholic Global ») afin d’apprécier la gestion du Pape François au même titre que serait appréciée la gestion d’un Steve Jobs chez Apple ou d’un Satya Nadella chez Microsoft. Et, pour le journal britannique, c’est plutôt réussi.
Pour The Economist, c’est simple : le Pape François a réussi l’exploit de renouveler la « marque RC Global » depuis qu’il a été élu, c’est-à-dire depuis même pas un an. Et pour ce faire il a utilisé une technique infaillible : recentrer les missions de ses fidèles.
Le Pape François a en effet décidé de remettre sur le premier plan des priorités de l’Eglise les pauvres. Et si c’est là une vocation première de l’Eglise Catholique depuis sa fondation, d’un point de vue managérial c’est une très bonne stratégie.
En effet, l’Eglise Catholique commence à perdre des fidèles dans les pays développés mais a un véritable potentiel de croissance dans les pays en voie de développement. A fortiori si son image est associée à de l’aide.
Cette nouvelle manière de gérer l’Eglise Catholique se ressent même auprès de collaborateurs du Pape. Un expert financier chargé de collaborer à la réorganisation de la structure économique du Vatican et cité par le journal La Croix estime qu’il se « sent comme avec un patron du Cac 40 » lorsqu’il travaille avec le Pape François.
Pour The Economist, c’est simple : le Pape François a réussi l’exploit de renouveler la « marque RC Global » depuis qu’il a été élu, c’est-à-dire depuis même pas un an. Et pour ce faire il a utilisé une technique infaillible : recentrer les missions de ses fidèles.
Le Pape François a en effet décidé de remettre sur le premier plan des priorités de l’Eglise les pauvres. Et si c’est là une vocation première de l’Eglise Catholique depuis sa fondation, d’un point de vue managérial c’est une très bonne stratégie.
En effet, l’Eglise Catholique commence à perdre des fidèles dans les pays développés mais a un véritable potentiel de croissance dans les pays en voie de développement. A fortiori si son image est associée à de l’aide.
Cette nouvelle manière de gérer l’Eglise Catholique se ressent même auprès de collaborateurs du Pape. Un expert financier chargé de collaborer à la réorganisation de la structure économique du Vatican et cité par le journal La Croix estime qu’il se « sent comme avec un patron du Cac 40 » lorsqu’il travaille avec le Pape François.
