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John McAfee a créé l'antivirus du même nom et a un passé tumultueux. Il est même parti en cavale après avoir été suspecté de meurtre. Mais il n'en reste pas moins un hacker de génie très sûr de lui.
Dans une tribune publiée sur le Business Insider ce vendredi 19 février 2016, McAfee entre donc dans le conflit FBI/Apple avec une proposition : il demande 3 semaines pour pirater l'iPhone en question et fournir toutes les informations au FBI. Une solution qui devrait mettre toute le monde d'accord : "Si vous acceptez ma proposition, vous n'aurez pas besoin de demander à Apple de placer une porte dérobée dans son produit, ce qui signifierait le début de la fin de l'Amérique" écrit-il.
Car le fonds du problème est bien celui-ci : la création de portes dérobées pour les autorités au sein des appareils connectés des firmes américaines, Apple et Google en tête. Elles s'y refusent, clamant la liberté d'expression et le respect de la vie privée. Les autorités, elles, clament leur impossibilité à poursuivre une enquête à cause du chiffrement.
John McAfee se range donc clairement du côté d'Apple mais est conscient de la nécessité pour le FBI de récupérer les donnée sdnas le cadre de cette enquête précise pour terrorisme. Sûr de lui, il s'est même lancé un défi : "Je mangerai ma chaussure dans le Neil Cavuto show si nous n'arrivons pas à casser le chiffrement du téléphone de San Bernardino." Et ce dans un délai de trois semaines.
Dans une tribune publiée sur le Business Insider ce vendredi 19 février 2016, McAfee entre donc dans le conflit FBI/Apple avec une proposition : il demande 3 semaines pour pirater l'iPhone en question et fournir toutes les informations au FBI. Une solution qui devrait mettre toute le monde d'accord : "Si vous acceptez ma proposition, vous n'aurez pas besoin de demander à Apple de placer une porte dérobée dans son produit, ce qui signifierait le début de la fin de l'Amérique" écrit-il.
Car le fonds du problème est bien celui-ci : la création de portes dérobées pour les autorités au sein des appareils connectés des firmes américaines, Apple et Google en tête. Elles s'y refusent, clamant la liberté d'expression et le respect de la vie privée. Les autorités, elles, clament leur impossibilité à poursuivre une enquête à cause du chiffrement.
John McAfee se range donc clairement du côté d'Apple mais est conscient de la nécessité pour le FBI de récupérer les donnée sdnas le cadre de cette enquête précise pour terrorisme. Sûr de lui, il s'est même lancé un défi : "Je mangerai ma chaussure dans le Neil Cavuto show si nous n'arrivons pas à casser le chiffrement du téléphone de San Bernardino." Et ce dans un délai de trois semaines.