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En 2015 les dirigeants et top managers de Deutsche Bank ont dû renoncer à leur bonus, calculé en fonction de leurs performances et de celles de la banque, pour compenser le fait que les actionnaires n'ont pas reçu de dividende. Une stratégie qui s'est inscrite dans un plan plus vaste de réduction des coûts sur fonds de crise et qui a conduit également à la suppression de plusieurs milliers de postes.
Deutsche Bank, pour l'année 2016, a décidé de faire la même chose vis-à-vis de ses actionnaires : il n'y aura pas de paiement de dividendes. Une décision difficile mais qui risque d'être encore plus indigeste si les dirigeants ne font pas eux-mêmes un effort. C'est ce que pense Christian Sewing, à la tête de la banque de détail du groupe, qui a donné une interview au quotidien allemand Bild mercredi 17 août 2016.
"Ce qui est certain est que si nous ne payons pas un dividende à nos actionnaires alors la question de notre bonus devrait au moins être débattue" a-t-il déclaré au journal allemand.
Deutsche Bank continue, de son côté, sa transformation avec notamment la vente de sa filiale Postbank pour laquelle le groupe attend toutefois une proposition sérieuse et un prix décent. La situation du groupe est compliquée : les bénéfices et le chiffre d'affaires ont chuté au second trimestre 2016 sur fonds de taux d'intérêts à zéro à la BCE.
Deutsche Bank, pour l'année 2016, a décidé de faire la même chose vis-à-vis de ses actionnaires : il n'y aura pas de paiement de dividendes. Une décision difficile mais qui risque d'être encore plus indigeste si les dirigeants ne font pas eux-mêmes un effort. C'est ce que pense Christian Sewing, à la tête de la banque de détail du groupe, qui a donné une interview au quotidien allemand Bild mercredi 17 août 2016.
"Ce qui est certain est que si nous ne payons pas un dividende à nos actionnaires alors la question de notre bonus devrait au moins être débattue" a-t-il déclaré au journal allemand.
Deutsche Bank continue, de son côté, sa transformation avec notamment la vente de sa filiale Postbank pour laquelle le groupe attend toutefois une proposition sérieuse et un prix décent. La situation du groupe est compliquée : les bénéfices et le chiffre d'affaires ont chuté au second trimestre 2016 sur fonds de taux d'intérêts à zéro à la BCE.