Entreprise
Xavier Niel a contredit ce vendredi tous les entrepreneurs qui se plaignent du climat fiscal français, rendant impossible tout projet entrepreneurial.
Pourtant le fondateur d'Iliad (Free) ne démord pas et estime que la perception de la fiscalité française par les apprentis entrepreneurs lui parait "délirante". Mieux, que l'environnement fiscal réel de la France serait "favorable" à la création d'entreprises.
Invité ce vendredi à expliquer "Comment créer et développer sa startup" devant les élèves de Sciences Po, à Paris, le serial entrepreneur a jeté un pavé dans la mare. Comparant la situation française à la situation américaine, Xavier Niel a déclaré "que depuis le 1er janvier de cette année, la fiscalité des plus values est de 23 %" en France, et qu'elle est "inférieure à celle de l'économie américaine".
Le patron de Free est allé plus loin dans sa démonstration, insistant sur le fait que "si vous léguez une entreprise, la fiscalité est de 6 % à 7 % et qu'il y a peu de pays où la fiscalité soit si faible pour la cession d'une entreprise à ses enfants". Ajoutant au passage qu'il n'était pas partisan du leg d'entreprise.
Certains diront qu'en étant la 10ème fortune de France, c'est un peu facile de faire de telles déclarations devant des étudiants. Mais pour Xavier Niel, la France reste un "pays fantastique, un mélange entre la folie latine et la rigueur anglo-saxonne".
Invitant les jeunes à ne pas "prendre l'avion", le PDG d'Iliad a affirmé qu'entreprendre, en France, à Paris, cela reste possible aujourd'hui. Là où les patrons mécontents de la pression fiscale le rejoindront sans doute, c'est sur le fait que "l'entrepreneuriat est la vraie chance de faire marcher l'ascenseur sociale en France".
Beaucoup aujourd'hui aimeraient bien y arriver, mais une grande partie d'entrepreneurs estiment que le gouvernement leur pose trop de bâtons dans les roues.
Invité ce vendredi à expliquer "Comment créer et développer sa startup" devant les élèves de Sciences Po, à Paris, le serial entrepreneur a jeté un pavé dans la mare. Comparant la situation française à la situation américaine, Xavier Niel a déclaré "que depuis le 1er janvier de cette année, la fiscalité des plus values est de 23 %" en France, et qu'elle est "inférieure à celle de l'économie américaine".
Le patron de Free est allé plus loin dans sa démonstration, insistant sur le fait que "si vous léguez une entreprise, la fiscalité est de 6 % à 7 % et qu'il y a peu de pays où la fiscalité soit si faible pour la cession d'une entreprise à ses enfants". Ajoutant au passage qu'il n'était pas partisan du leg d'entreprise.
Certains diront qu'en étant la 10ème fortune de France, c'est un peu facile de faire de telles déclarations devant des étudiants. Mais pour Xavier Niel, la France reste un "pays fantastique, un mélange entre la folie latine et la rigueur anglo-saxonne".
Invitant les jeunes à ne pas "prendre l'avion", le PDG d'Iliad a affirmé qu'entreprendre, en France, à Paris, cela reste possible aujourd'hui. Là où les patrons mécontents de la pression fiscale le rejoindront sans doute, c'est sur le fait que "l'entrepreneuriat est la vraie chance de faire marcher l'ascenseur sociale en France".
Beaucoup aujourd'hui aimeraient bien y arriver, mais une grande partie d'entrepreneurs estiment que le gouvernement leur pose trop de bâtons dans les roues.
