Un nouveau prétendant à la tête de Renault
Selon BFMTV, qui dévoile l’information le 6 décembre 2019, Henri Poupart-Lafarge serait en lice pour prendre la tête du constructeur automobile français. Actuellement à la tête d’Alstom, où ses résultats sont bons, il a plusieurs cordes à son arc pour prétendre au poste de directeur général, aux côtés de Jean-Dominique Senard, président de Renault.
En particulier, sa nationalité pourrait attirer Bercy qui espère que le constructeur reste entre les mains d’un Français ; de plus, il connaît l’actuelle directrice générale par intérim de Renault, Clotilde Debos, ce qui présagerait un duo qui fonctionnerait. Mais il aurait un défaut sur son CV : il n’a jamais travaillé dans l’automobile.
En particulier, sa nationalité pourrait attirer Bercy qui espère que le constructeur reste entre les mains d’un Français ; de plus, il connaît l’actuelle directrice générale par intérim de Renault, Clotilde Debos, ce qui présagerait un duo qui fonctionnerait. Mais il aurait un défaut sur son CV : il n’a jamais travaillé dans l’automobile.
Deux autres candidats dans la course
Ni Alstom ni Renault n’ont commenté l’information de BFMTV. Dans tous les cas, il faudra qu’il réussisse à convaincre face aux deux autres candidats déjà connus pour prendre le poste de Directeur général du constructeur français.
D’un côté, il y a l’italien Luca De Meo, actuellement à la tête de Seat, filiale de Vokswagen. Ce dernier peut se vanter d’avoir 25 ans d’expérience dans l’industrie automobile et d’avoir redressé le constructeur espagnol après un phase creuse : les ventes de Seat ont grimpé de 11,1% en un an grâce à de l’innovation et une approche ciblant les jeunes.
De l’autre, Patrick Koller, que Bruno Le Maire apprécierait tout particulièrement. Actuellement à la tête de Faurecia, équipementier automobile, il est le favori du gouvernement.
D’un côté, il y a l’italien Luca De Meo, actuellement à la tête de Seat, filiale de Vokswagen. Ce dernier peut se vanter d’avoir 25 ans d’expérience dans l’industrie automobile et d’avoir redressé le constructeur espagnol après un phase creuse : les ventes de Seat ont grimpé de 11,1% en un an grâce à de l’innovation et une approche ciblant les jeunes.
De l’autre, Patrick Koller, que Bruno Le Maire apprécierait tout particulièrement. Actuellement à la tête de Faurecia, équipementier automobile, il est le favori du gouvernement.