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Qui aurait cru que l’un des PDG les plus puissants et respectés de la Silicon Valley se fasse l’avocat du « travailler moins pour vivre mieux » ? C’est pourtant le discours qu’il a tenu lors d’une conférence avec Sergey Brin, co-fondateur du moteur de recherche. Il estime ainsi qu’il est de moins en moins difficile de se procurer les choses nécessaires pour être heureux, qu’il s’agisse de biens matériels ou de concepts (comme saisir les opportunités pour ses enfants).
L’idée qu’il faille travailler comme un fou pour satisfaire ces besoins « n'est tout simplement pas vraie ». Larry Page, qui s’en est entretenu avec le milliardaire touche à tout Richard Branson, pense qu’il vaudrait mieux embaucher deux personnes à temps partiel plutôt qu’une seule à temps plein, étant donné que les besoins pour être heureux sont plus faciles à obtenir. En ces temps de chômage de masse, cette solution a l’avantage de la lisibilité…
Si les gens aiment — la plupart du temps — leur travail, qui leur permet de s’épanouir (« On a besoin de se sentir utile, désirés et avoir des choses productives à faire »), ils souhaitent aussi profiter de leur vie et de leur famille. Les gens « veulent aussi consacrer du temps à leur famille, développer leurs centres d'intérêt », explique Page.
Google, chantre des 35 heures ? Ça n’est évidemment pas aussi simple que cela ! Sergey Brin a ainsi tenté de recarder le discours de son ami : il ne pense pas que le besoin en main d’œuvre va se réduire du jour au lendemain. D’ailleurs, les gens veulent « toujours plus de choses, plus de divertissements, plus de créativité », ce qui nécessite un certain train de vie et donc… de travailler pour les obtenir.
L’idée qu’il faille travailler comme un fou pour satisfaire ces besoins « n'est tout simplement pas vraie ». Larry Page, qui s’en est entretenu avec le milliardaire touche à tout Richard Branson, pense qu’il vaudrait mieux embaucher deux personnes à temps partiel plutôt qu’une seule à temps plein, étant donné que les besoins pour être heureux sont plus faciles à obtenir. En ces temps de chômage de masse, cette solution a l’avantage de la lisibilité…
Si les gens aiment — la plupart du temps — leur travail, qui leur permet de s’épanouir (« On a besoin de se sentir utile, désirés et avoir des choses productives à faire »), ils souhaitent aussi profiter de leur vie et de leur famille. Les gens « veulent aussi consacrer du temps à leur famille, développer leurs centres d'intérêt », explique Page.
Google, chantre des 35 heures ? Ça n’est évidemment pas aussi simple que cela ! Sergey Brin a ainsi tenté de recarder le discours de son ami : il ne pense pas que le besoin en main d’œuvre va se réduire du jour au lendemain. D’ailleurs, les gens veulent « toujours plus de choses, plus de divertissements, plus de créativité », ce qui nécessite un certain train de vie et donc… de travailler pour les obtenir.