Jorgen Vig Knudstorp est resté Président de l’entreprise qui avait nommé Bali Padda à sa place. Ce dernier a été le premier dirigeant non-danois de Lego. En poste depuis 15 ans, il était directeur des opérations lors de sa nomination à la tête de l’entreprise. Mais les résultats de Lego ont partiellement déçu en 2016 et il semblait entendu depuis le départ que la nomination de Bali Padda n’allait pas être pérenne.
Le 10 août 2017, dans un communiqué de presse, Lego a notifié la nomination de Niels Christiansen au poste de Directeur Général. C’est donc lui qui va reprendre les rênes du fabricant de jouets. Et cette nomination laisse transparaître la future stratégie de croissance du géant danois.
Niels Christiansen était, auparavant, directeur général de Danfoss, spécialisée dans les équipements de chauffage. Grâce à lui, Danfoss a pu prendre un tournant numérique majeur ce qui a permis à l’entreprise de rester un leader dans son secteur. De plus, Danfoss est également une entreprise familiale dont la taille est similaire à celle de Lego.
Lego compte donc sur l’expérience managériale de Christiansen et sur ses capacités à introduire le numérique et le digital dans une entreprise pour relancer une croissance qui est au plus bas depuis 10 ans : en 2016 le chiffre d’affaires de Lego n’a augmenté que de 6 %, la période faste de l’ère Knudstrop, marquée par la multiplication des produits dérivés sous licence, semblant être arrivée à son terme.
Le 10 août 2017, dans un communiqué de presse, Lego a notifié la nomination de Niels Christiansen au poste de Directeur Général. C’est donc lui qui va reprendre les rênes du fabricant de jouets. Et cette nomination laisse transparaître la future stratégie de croissance du géant danois.
Niels Christiansen était, auparavant, directeur général de Danfoss, spécialisée dans les équipements de chauffage. Grâce à lui, Danfoss a pu prendre un tournant numérique majeur ce qui a permis à l’entreprise de rester un leader dans son secteur. De plus, Danfoss est également une entreprise familiale dont la taille est similaire à celle de Lego.
Lego compte donc sur l’expérience managériale de Christiansen et sur ses capacités à introduire le numérique et le digital dans une entreprise pour relancer une croissance qui est au plus bas depuis 10 ans : en 2016 le chiffre d’affaires de Lego n’a augmenté que de 6 %, la période faste de l’ère Knudstrop, marquée par la multiplication des produits dérivés sous licence, semblant être arrivée à son terme.