Alors que de toutes parts Uber s’attire les mauvais augures et que les taxis ne cessent de manifester contre l’application et le service Uber qu’ils considèrent illégal, un sentiment partagé par de plus en plus de tribunaux et de gouvernement, c’est la première fois que les autorités attaquent directement le PDG du groupe.
En Corée du Sud, en effet, Uber est attaquée par les autorités du pays pour la même raison qui a conduit à l’interdiction d’Uber dans de nombreux pays ou villes : les chauffeurs Uber n’ont pas la licence permettant de fournir un service de transport payant, service assimilable à celui d’un taxi. Pour cette raison Uber est interdit en Thaïlande, Allemagne, Espagne et plus récemment en France (où seule l’application UberPop devrait être interdite au 1er janvier 2015).
Mais les autorités sud-coréennes ont décidé d’aller plus loin et ont cité directement Travis Kalanick, PDG d’Uber, dans leur plainte. Il est accusé d’avoir contourné une loi sud-coréenne interdisant à toute personne n’ayant pas la licence adéquate de transporter des passagers moyennant paiement.
Travis Kalanick ne risque toutefois pas la prison, les autorités n’ayant pas émis à son encontre un mandat d’arrêt. Mais la peine encourue pour ce délit est tout de même de 18 000 dollars d’amende et jusqu’à 2 ans de prison ferme.
En Corée du Sud, en effet, Uber est attaquée par les autorités du pays pour la même raison qui a conduit à l’interdiction d’Uber dans de nombreux pays ou villes : les chauffeurs Uber n’ont pas la licence permettant de fournir un service de transport payant, service assimilable à celui d’un taxi. Pour cette raison Uber est interdit en Thaïlande, Allemagne, Espagne et plus récemment en France (où seule l’application UberPop devrait être interdite au 1er janvier 2015).
Mais les autorités sud-coréennes ont décidé d’aller plus loin et ont cité directement Travis Kalanick, PDG d’Uber, dans leur plainte. Il est accusé d’avoir contourné une loi sud-coréenne interdisant à toute personne n’ayant pas la licence adéquate de transporter des passagers moyennant paiement.
Travis Kalanick ne risque toutefois pas la prison, les autorités n’ayant pas émis à son encontre un mandat d’arrêt. Mais la peine encourue pour ce délit est tout de même de 18 000 dollars d’amende et jusqu’à 2 ans de prison ferme.