Entreprise
La rumeur annonçait un rachat par Google ou Samsung : Withings reste finalement français ! Car c'est à Eric Carreel, cofondateur de l'entreprise, que Nokia a redonné les clés de Withings, fleuron français des objets connectés de santé et de bien-être. Il y a deux ans, le groupe finlandais achetait le constructeur tricolore 170 millions d'euros. Rebaptisée Nokia Health, l'entité n'a pas obtenu les résultats escomptés, dans un contexte où l'équipementier réseau cherchait à se départir du marché grand public.
Résultat : retour à l'envoyeur, pour une somme qui, selon Le Figaro, n'excède pas les 30 millions d'euros. Eric Carreel a l'intention de faire revenir la marque Withings sur le marché, avec des produits orientés santé plutôt que bien-être. « Nous sommes encore aux prémices de ce que la santé connectée peut apporter aux individus », explique-t-il. « Il faut dorénavant explorer des mesures réellement innovantes et des services associés qui permettront de prévenir certaines maladies chroniques ». Un pari complexe, soumis à de fortes régulations, mais où la technologie peut apporter ses bienfaits.
Il faudra au nouveau propriétaire reformer son équipe. Beaucoup sont partis après l'acquisition par Nokia, mais il reste encore 200 personnes qui travaillent près de Paris. Une base solide sur laquelle s'appuyer pour peser à nouveau sur un marché promis à un bel avenir, si les produits et les technologies suivent. Withings a tout ce qu'il faut pour revenir en force, à commencer par une communauté d'utilisateurs tout acquis à la cause.
Résultat : retour à l'envoyeur, pour une somme qui, selon Le Figaro, n'excède pas les 30 millions d'euros. Eric Carreel a l'intention de faire revenir la marque Withings sur le marché, avec des produits orientés santé plutôt que bien-être. « Nous sommes encore aux prémices de ce que la santé connectée peut apporter aux individus », explique-t-il. « Il faut dorénavant explorer des mesures réellement innovantes et des services associés qui permettront de prévenir certaines maladies chroniques ». Un pari complexe, soumis à de fortes régulations, mais où la technologie peut apporter ses bienfaits.
Il faudra au nouveau propriétaire reformer son équipe. Beaucoup sont partis après l'acquisition par Nokia, mais il reste encore 200 personnes qui travaillent près de Paris. Une base solide sur laquelle s'appuyer pour peser à nouveau sur un marché promis à un bel avenir, si les produits et les technologies suivent. Withings a tout ce qu'il faut pour revenir en force, à commencer par une communauté d'utilisateurs tout acquis à la cause.
