« J’ai décidé de prendre la présidence d’Europe 1 », a déclaré le chef d’entreprise, patron du groupe Lagardère, qui a bien l’intention de redresser la situation d’une radio dont les audiences sont en chute libre depuis un an. La station de la rue François 1er souffre d’une fuite de ses auditeurs : ils sont 320 000 à avoir déserté la radio, dont l’audience cumulée a reculé de 7,7%. Du jamais vu depuis 12 ans selon Médiamétrie.
Dans un entretien au Monde, Arnaud Lagardère admet que les résultats ne sont pas bons : « Les résultats d'audience ne sont pas bons. Vous connaissez mon attachement personnel à Europe 1 et l'importance d'Europe 1 pour le groupe et pour le paysage audiovisuel français ». Reprendre les rênes d’une entreprise en difficulté, c’est un « modus operandi » dont le patron du groupe Lagardère a l’habitude ; il rappelle ainsi avoir pris la présidence de la branche Sports de l’entreprise, qu’il a redressée.
L’idée est la même pour Europe 1 : en prendre la présidence « jusqu'au moment où elle sera redressée dans son audience et ses comptes ». La radio n’a pas su rebondir alors que l’actualité, en particulier politique avec l’élection présidentielle, est chargée. Toutes les autres radios, notamment les généralistes qui concurrencent directement Europe 1, en profitent. Arnaud Lagardère a un modèle, celui de RTL, première radio de France. Il veut redresser avant tout l’audience.
Dans un entretien au Monde, Arnaud Lagardère admet que les résultats ne sont pas bons : « Les résultats d'audience ne sont pas bons. Vous connaissez mon attachement personnel à Europe 1 et l'importance d'Europe 1 pour le groupe et pour le paysage audiovisuel français ». Reprendre les rênes d’une entreprise en difficulté, c’est un « modus operandi » dont le patron du groupe Lagardère a l’habitude ; il rappelle ainsi avoir pris la présidence de la branche Sports de l’entreprise, qu’il a redressée.
L’idée est la même pour Europe 1 : en prendre la présidence « jusqu'au moment où elle sera redressée dans son audience et ses comptes ». La radio n’a pas su rebondir alors que l’actualité, en particulier politique avec l’élection présidentielle, est chargée. Toutes les autres radios, notamment les généralistes qui concurrencent directement Europe 1, en profitent. Arnaud Lagardère a un modèle, celui de RTL, première radio de France. Il veut redresser avant tout l’audience.