La veille de la journée internationale des droits des femmes qui s’est tenue le jeudi 8 mars 2018, le gouvernement a placé les inégalités salariales entre hommes et femmes dans son ordre du jour pour le Conseil des Ministres. Plusieurs solutions ont été étudiées pour réduire l’écart de salaire et une d’entre elles pourraient entrer en vigueur dès 2019.
L’idée du gouvernement est de prendre exemple sur d’autres pays européens : l’obligation d’installer un logiciel de contrôle des salaires qui se brancherait directement sur le logiciel de gestion de paye. Une obligation que le gouvernement français veut instaurer pour les entreprises de plus de 250 salariés dès 2019 et pour celles de plus de 50 salariés dès 2020.
Le logiciel, gratuit, va étudier les salaires des hommes et des femmes et va identifier les inégalités injustifiées : si une partie de la différence de salaire entre les hommes et les femmes peut être expliquée par des parcours différents ou des compétences diverses, on estime à 9 % la différence de salaire qui n’a aucune justification possible.
Le gouvernement va également augmenter les contrôles de la part de l’URSSAF : si une entreprise est coupable d’inégalité salariale elle aura trois ans pour se mettre en règle faute de quoi elle risque une amende. Et cette amende pourrait être cumulable avec d’autres amendes.
De plus, les entreprises pourraient avoir l’obligation de publier sur leur site Internet les résultats du logiciel de sorte à ce que le public soit informé.
L’idée du gouvernement est de prendre exemple sur d’autres pays européens : l’obligation d’installer un logiciel de contrôle des salaires qui se brancherait directement sur le logiciel de gestion de paye. Une obligation que le gouvernement français veut instaurer pour les entreprises de plus de 250 salariés dès 2019 et pour celles de plus de 50 salariés dès 2020.
Le logiciel, gratuit, va étudier les salaires des hommes et des femmes et va identifier les inégalités injustifiées : si une partie de la différence de salaire entre les hommes et les femmes peut être expliquée par des parcours différents ou des compétences diverses, on estime à 9 % la différence de salaire qui n’a aucune justification possible.
Le gouvernement va également augmenter les contrôles de la part de l’URSSAF : si une entreprise est coupable d’inégalité salariale elle aura trois ans pour se mettre en règle faute de quoi elle risque une amende. Et cette amende pourrait être cumulable avec d’autres amendes.
De plus, les entreprises pourraient avoir l’obligation de publier sur leur site Internet les résultats du logiciel de sorte à ce que le public soit informé.